Weekend prolongé

Bon ce n’était pas vraiment un weekend prolongé, c’était un weekend normal, mais lundi soir il y avait un resto de prévu donc c’était encore un peu l’ambiance weekend, d’où la prolongation. Enfin bref. Samedi, journée pas tout à fait normale. D’une part c’est le premier samedi où j’arrive à tenir mes objectifs de rédaction. Bravo non ? Ensuite, j’ai décidé d’entammer le gâteau pour la journée de dimanche. Pour le réussir, il me faut faire monter une crème chantilly, … sans crème-fix. Par contre, j’avais prévu une bassine d’eau à zéro degré (de l’eau avec pleins de glaçons dedans), du sucre glace, mais rien n’y a fait. Cette saleté de crème chantilly n’a pas monté. Snif. Ça devait être à cause de l’été si proche. Après un aller-retour vain vers le supermarché du coin (à la recherche de crème chantilly en bombe… oui bon ça suffit !) je me résigne à faire mon gâteau avec une crème chantilly liquide. En plus, Justine à corrigé son adversaire sur le central. Moi qui voulait voir un beau match entre future génération et future ancienne génération, bof bof. Mais bon, le gâteau sera finalement bon, crème chantilly à plat ou pas.

Dimanche matin, levé tôt. Oui il faut que je cuisine ! Cyrielle vient manger et j’ai très envie de lui offrir quelque chose d’au moins à moitié aussi bon que ce qu’elle sait faire. Et puis il faut aller voter aussi. Je sais, les résultats semblent joués d’avance, mais il faut quand même y aller. Au final, je suis très en avance sur l’horaire. Je passe un moment mémorable à dresser mes makis, dommage que personne n’ait assisté à cette scène. Seuls quatre d’entre-eux survivront, ce qui n’est déjà pas mal : ce n’est que l’entrée. Cyrielle arrive. Je pense qu’elle a apprécié le repas, mais c’est à elle de le dire. Moi je suis plutôt satisfait des Makis. Le rouget n’était pas mémorable, j’ai fait bien mieux.

S’ensuit une petite promenade digestive à l’ombre des nombreux arbres qui bordent la dérivation du canal du rhin au… nord du rhin. L’eau est inhabituellement agitée pour un banal canal. Il y a même quelques braves qui s’essayent dans les rapides en kayak. Oui vous avez bien lu : les rapides. En fait il s’agit du plus grand parcours artificiel pour kayak de France (c’est ou c’était) : le parc des eaux vives de Huningue. Oh oui, nous y retournerons et nous jeterons à l’eau. Qui en est ? (les photos sont ).

Dimanche soir, la famille de Cyrielle, nous rejoint pour un restaurant sur Saint-Louis. J’ai réservé pour cinq en terrasse au Bellaria, un restaurant italien très proche de chez moi. Je me souviens y être allé à l’époque où je travaillais pour la défense (dit comme ça c’est impressionnant, c’est justement pour ça que le dit de cette façon :p) et y avoir passé un bon moment. J’avais appelé mercredi dernier et réservé pour dimanche soir 20h30. Alors que le gros orage au-dessus de nous n’arrive plus à contenir ses gouttes d’eau, nous arrivons en face de la devanture du restaurant. Pour mon plus grand embarras, ce sont des grilles fermées qui nous accueillent. La pancarte prétend que le restaurant est fermé le dimanche. Pourtant j’en suis certain, on m’a bien confirmé une réservation pour ce dimanche soir à 20h30. Tandis que la pluie nous rattrappe, nous nous rabattons sur un autre restaurant, encore plus près de chez moi cette fois : le Mandarin. Au menu pour moi, le traditionnel canard laké aux cacahuètes. Hmmm 🙂 J’en profite pour rassurer mes lecteurs : je ne suis presque plus sensible aux cacahuètes par contact et : mes médocs d’urgence sont périmés ! Rien de tel qu’un petit test comme ça pour faire un petit bilan 🙂 Rendez-vous chez le médecin programmé, à moins que Vanessa me dise que les Primalans sont dispoibles en vente libre. J’en profite pour remercier la famille de Cyrielle pour l’invitation. Mais c’est aussi le moment de les mettre en garde : la prochaine fois l’addition est pour moi.

Venons-en à la journée du lundi. Ce soir Alban dors chez moi. Oui Alban, celui avec qui je lançais presque aussi souvent qu’avec JB quand j’habitais Illkirch, celui qui a repris la présidence du SUC depuis un certain nombre d’année, bref, celui-là, est maître de conférence à Mulhouse. Et du coup, habitant Strasbourg, ce n’est pas toujours facile de faire l’aller-retour le matin comme le soir. Bref, ce soir il dort chez moi et a proposé d’aller au resto avec mes amis du labo et d’ailleurs pour m’éviter le tracas de prévoir à manger. Sauf qu’il revient de Dusseldorf où il a passé un weekend ultimate de toute beauté, à l’écouter. Je sais trop ce que c’est que de rentrer d’un weekend tournoi. Bref, il a oublié son duvet et, plus grave, sa brosse à dent (je peux lui prêter un duvet, mais une brosse à dent !). Bref, il ne dormira pas chez moi ce soir. Et alors ? Ben rien, ça ne nous privera pas d’une soirée au Leffe. Parmis les invités : Argyromou, Marylinemou, Gillesmou et un nouveau venu, nicalamou second. Oui au fait, nous avons deux nicalamous (quelle est la marque du pluriel en grecque ?) au labo maintenant. La suite en photos…

Nicalamou second et Gilles. Nous venons de découvrir que l’appareil photo de nicalamou second a une sorte de détecteur d’orientation qui lui pemet de redresser l’image sur l’écran LCD en fonction de comment nous tenons l’appareil : s’il est sur le côté, la photo est tournée de sorte que nous la voyons droite.

Au Leffe

Je trouve bien difficile de m’imiscer dans une conversation de filles. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir acquis officiellement le titre de meilleure copine d’Argyro lol. Faut croire qu’une vraie fille vaut mieux qu’un vrai homme (je ne fais que citer ma meilleure copine… vous suivez ?).

Au Leffe

We need you.

Au Leffe

Ça fait du bien une petite soirée resto non ?

Au Leffe

Maryline et Argy. Contentes de se voir après si longtemps. N’oublions pas de remercier Alban pour cette occasion. D’ailleurs j’en profite pour signaler que j’ai réservé moi-même le resto et que tout s’est bien passé. Ouf 🙂 hier soir devait être un raté passager. J’espère que j’aurai une seconde chance (et même une deuxième si vous voyez la nuance).

Au Leffe

C’est uniquement histoire de dire que je mets des photos de moi aussi. Ce n’est pas un geste déplacé que je fais, je suis juste jaloux de l’intérêt que porte Argyro à Maryline alors que je suis sa meilleure copine. Après avoir bravé les dangers d’un thé aux hormones féminines (voir un billet précédent) pour conquérir ce titre, cette jalousie est bien normale.

Au Leffe

Gilles vient d’apprendre que j’ai terminé ma première partie de thèse.

Au Leffe

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