Archive pour la catégorie ‘Sport’
Cadeau de Noël : nouez vos lacets différemment !
Depuis tout petit, faire des nœuds avec des bouts de ficelle m’a toujours paru être une solution fragile pour résoudre mes problèmes. Les nœuds que j’ai confectionné ont toujours fini par se desserrer, glisser, et finalement lâcher. Et puis je me suis mis à l’escalade et j’ai appris à réaliser des nœuds auxquels je confie ma vie. Du coup, ça a ravivé mon intérêt pour cette science (c’est une branche des mathématiques) qui peut s’avérer très utile au quotidien. À force de lecture et de réflexion, je me suis attaché à comprendre pourquoi certains tiennent et d’autres non. J’en suis ainsi venu à revoir ma façon de nouer mes lacets.
Histoire d’une photo
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Qui a dit que des vacances à la neige ne pouvaient pas être des vacances culturelles ? Personne je crois. Ce n’est pas grave. Toujours est-il que cet hivers, dans la station de départ du téléphérique de la cime Caron, j’ai été touché. En tant que photographe (on l’est tous un peu n’est-ce pas ?) je manque régulièrement d’inspiration quand il s’agit de faire une photo qui rende compte d’un panorama époustouflant. La parade, c’est d’ouvrir les yeux et de se questionner. Dans une station de ski, les cartes postales et les livres photos ne manquent pas dans les boutiques. Il suffit alors de se diriger vers les photos qui nous émerveillent et de se questionner pour identifier ce qui est à l’origine de ce « wouah ». À quelle heure de la journée cette photo a-t-elle été prise, où était situé le photographe, quel cadrage a-t-il choisi, comment a-t-il rendu la profondeur / l’étendue du paysage, etc. ? Bref, se questionner sert à s’imprégner des règles de composition propres à la photographie et à penser à les appliquer le moment venu. Et puis des fois, le hasard vous offre des options carrément plus faciles à suivre !
Skier sur la bonne pente
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Illustration de l’adage bien connu qui prétend qu’on en apprend tous les jours : je suis revenu moins bête de ma semaine de ski. Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas un abus de raclette qui m’a appris quelque chose, mais un article dans un magazine de grimpe. Et cela se résume à la question suivante, que je pose aux skieurs qui me lisent : quelle était la pente de la piste la plus pentue que vous ayez descendue ? Je ne sais pas vous mais pour répondre, j’aurais allégrement tapé dans les 60°, au moins sur certaines portions des pistes les plus raides dans lesquelles je me sois jamais engagé…
Cascades glacées
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Le 23 janvier dernier (donc il y a plus d’un mois), nous avons participé à une initiation à l’escalade de cascades de glace encadrée par le club alpin français. Alors déjà, je préfère casser le mythe tout de suite : si comme moi, par cascade de glace vous comprenez chutes d’eau gelées, sachez que ce n’est pas forcément le cas (je me disais aussi : il fait assez froid dans les Vosges pour geler complètement une chute d’eau au point qu’on puisse grimper dessus ?). En l’occurrence, il s’agissait pour nous d’escalader des blocs de glaces nés du ruissellement de l’eau sur des escarpements rocheux. Mais vous verrez dans les photos que ça donne quand même de sacrés blocs glacés, suffisamment épais pour qu’on puisse planter crampons et piolets dessus sans le fracturer.
Embarquement immédiat
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Voici une première série de photos en provenance directe de nos vacances passées dans le sud-ouest. Je commence par ce que je considère comme le temps fort de ces deux semaines : ma première grande voie en falaise. Elle s’appelle embarquement immédiat et elle se situe là. Je reconnais avoir eu une petite appréhension au moment de m’engager dans la voie. Suis-je capable d’arriver en haut avec mon niveau de débutant ? Mais pas de panique, le guide nous a longuement questionné sur notre niveau et je pense qu’il sait où il nous emmène.
Tout en finesse
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Le 10 octobre dernier (oui ça fait un bail), nous sommes partis faire un baptême en planeur. Enfin quand je dis nous, il faut surtout comprendre Élodie, car moi j’avoue ne pas avoir été très brave quand j’ai vu la chose (de toute façon fallait bien quelqu’un pour faire les photos). En effet, ce planeur là était catapulté par un système de treuil et il faut reconnaître que les décollages étaient très impressionnants : dès que le planeur quitte le sol, il se met à 90° par rapport au treuil et grimpe comme ça pendant une vingtaine de secondes après quoi le treuil est désarrimé. L’appareil vole alors à environ 100km/h et à 400m d’altitude !
Vertige sans le piège à loup
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Le 13 septembre dernier, nous sommes partis vers Ornans pour nous essayer à la via ferrata de la roche du mont. Après une petite heure et demie de route à travers le Jura et sous une météo incertaine, c’est avec délectation que nous avons entamé le parcours de 380m sur la roche. Comme vous le verrez sur les quelques photos de ce billet, il s’agit d’une traversée avec quelques passages déversant (mais pas beaucoup dans la partie que l’on a faite) et quelques autres effectués à même le rocher.
Rimini, les voici !
À l’approche de Pâques, vous savez tous que mon équipe préférée débarque à Rimini pour disputer les championnats du monde d’ultimate sur plage. Cette année encore, et plus motivée que jamais, Freespeed a pris d’assaut la plage italienne avec l’ambition d’atteindre le stade des demi-finales. Historiquement, notre meilleur résultat fut une jolie 5e place après avoir chuté en quarts de finale. À l’époque notre parcours nous avait conduit à battre l’équipe de Chicago qui est tenante du titre aujourd’hui.
Tout ça pour dire que cette année, nous sommes tête de série numéro 9 et que nous affronterons dans la première phase de pool les équipes de Bologne, de Copenhague et d’Oxford. Enfin je dis nous, mais il faut comprendre ils. En effet, vous vous souvenez sans doute que j’ai arrêté la compétition et c’est donc depuis les sommets des Vosges que j’assisterai aux matchs.
Promenade autour du col Amic
Quelques photos de la balade de dimanche dernier dans les Vosges. Bien que chargé, le ciel n’était pas des plus inintéressants, et le brouillard dans la vallée s’étalait jusqu’au Jura et aux Alpes suisses. Sympathique !
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Karting sur glace
Mardi 25 novembre au soir, l’équipe d’Alten du site Orange lab’s de Belfort est de sortie à la patinoire de Mulhouse pour une activité un peu inhabituelle : le karting sur de la glace. Personnellement je n’ai jamais rien pratiqué qui puisse ressembler de près ou de loin à du pilotage sur glace (pas même de karting sur bitume). Alors bien-sûr, ce sont des kartings électriques et leur vitesse est donc limitée à quelque chose de raisonnable. Les pneus sont cloutés et le casque est fourni. Bref, rien qui ne fasse tant peur que ça et je me lance donc dès le deuxième groupe (on passait par groupes de 4/5) en espérant ne pas me rendre trop ridicule (a priori la chicane risque de se terminer en tête-à-queue).
Résultat des courses, j’ai complètement adoré. On se laisse très facilement prendre au jeu et très vite on oublie la pédale de frein pour voir la vitesse maximale à laquelle on peut prendre un virage sans partir en vrille. Le coup de tourner le volant à droite pour négocier un virage à gauche (j’ai appris ça dans Cars :p) devient même vite très naturel. Dès la deuxième session, on commence déjà à piloter à la limite pour dépasser la personne de devant. Bref j’irai pas jusqu’à dire que je suis devenu fan de F1, mais disons que je comprend maintenant ce qu’y trouvent les pilotes. En fait, je crois que tout ça m’a donné envie d’aller skier. Dimanche peut-être 🙂
Sur ce, je vous laisse avec une poignée de photos de la soirée, dont une qui fait figure de grande première sur ce blog 😀
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