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On progresse, mon jury est constitué de six personnes dont je ne sais pas si les noms vous diront grand chose (sauf peut-être Jean, David, et Patrice). Bref, ils sont six au total et ils ont tous accepté, avec enthousiasme, la lourde responsabilité que constitue l’évaluation de mon travail. Ça c’est une bonne chose. De plus, la commission des thèses de mercredi dernier a statué favorablement pour une soutenance en décembre. Administrativement parlant, un bon bout de chemin a donc été fait, même s’il peut encore y avoir quelques embuches qui ne seraient pas de mon ressort (enfin plus de mon ressort, car ça voudrait dire que je n’ai pas assez bossé).

Il ne me reste donc plus qu’à terminer la rédaction, qui en est à 160 pages tout compris, ce qui laisse présager environ 200 pages à la fin… C’est pas encore Harry Potter, mais je m’en approche 🙂 En tous cas c’est déjà officiellement la chose la plus grosse que je n’ai jamais écrite (avec mes mains parce que j’ai déjà fabriqué des programmes qui écrivaient des rapports d’exécution bien plus gros que ça… D’ailleurs il y en a un qui tourne en ce moment : le résultat de l’analyse de 10 000 neurones de 16 entrées chacun, donc environ 10 000 pages si jamais je l’imprimais !).

Trève de vantardise, il y a l’Angleterre qui joue ce soir et j’ai encore quelques petites choses à régler.

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