Évasion à Disneyland

[singlepic id=172 w=200 h=200 float=left]

 

Pour le long weekend de l’ascension ponté, nous avons décidé de prendre le TGV en direction de Marne-la-Vallée pour un petit séjour chez les amis de Mickey. Au programme, trois nuits et trois jours d’accès aux parcs. Pour moi c’était l’occasion de tester la tour de la terreur car c’est la seule attraction que je croyais n’avoir encore jamais faite. En réalité il y en avait deux autres qui ont poussé dans l’anonymat médiatique le plus total (qui se souvient d’un reportage au JT pour l’ouverture de Buzz l’Éclair : bataille laser ? ou du Crush Coaster). Enfin bref : petit résumé des moments forts du weekend.

 

 


[singlepic id=171 w=200 h=200 float=right]

Beaucoup de monde pour ce premier jour, et après avoir été rassurés par la file d’attente plutôt menue de l’attraction Pirate des Caraïbes (20 minutes), nous déchantons devant l’abominable colimaçon de 70 minutes qui serpente à l’entrée de Big Thunder Mountain. La file d’attente aura au moins le mérite de nous faire considérer l’option fast pass qui propose aux visiteurs de zapper les files d’attentes en réservant une place à un horaire donné. On tente le coup juste après pour SPace Mountain : mission 2 et le principe est génial ! Certes on doit attendre plus longtemps que si on avait choisi de faire la queue, mais l’avantage est que nous ne sommes pas immobilisés dans une file d’attente : on en profite donc pour manger. Pas certain que ce soit une bonne idée de manger avant ce grand huit remuant mais bon. Ensuite, grâce au fast pass, nous embarquons directement dans le space mountain et là c’est l’extase : une accélération de départ de 1,3g le long d’un canon de 22m et c’est parti pour près d’un kilomètre de sensations ! Moi qui connaissait bien la version 1, je trouve que la nouvelle est bien plus rapide. Pourtant, renseignements pris il s’avère que seul le décor a changé et non le parcours…

[singlepic id=168 w=200 h=200 float=left]

Le deuxième jour, nous nous attaquons au parc Walt Disney Studio. Nous assistons à l’époustouflant spectacle Moteur ? Action ! Stunt show spectacular. C’est un spectacle comme on n’en voit qu’aux Universal Studios de Los Angeles et … au Puy du Fou (allez-y si vous ne me croyez pas). Un décor grandiose, des cascades impressionnantes en direct, des explosions. On en redemande ![singlepic id=170 w=200 h=200 float=right] À la sortie, on enchaine avec le Rock’n’roller coaster animé par la musique rock d’Aerosmith. Là, question sensations, on passe carrément la vitesse au-dessus comparé à Space Mountain. Le départ est une accélération horizontale de 0 à 100km/h en un peu moins de trois secondes qui permet de prendre d’entrée un looping assez rare dans le monde des coasters : le serpent de mer. En gros c’est un looping, sauf qu’au sommet on fait un vrille complète avant de redescendre. La suite est à cent à l’heure et est excellente ! Un truc et astuce intéressant : chaque train a une couleur différente et l’animation sonore et visuelle du parcours change en fonction du train. Donc si vous devez faire cette attraction plusieurs fois, arrangez-vous pour changer de couleur !

[singlepic id=169 w=200 h=200 float=left]On en arrive ensuite à la tour de la terreur. En gros, j’ai retenu des reportages télé qu’il s’agissait d’une chute libre d’une quarantaine de mètres. Alors bon, j’aime pas trop ce genre de sensations mais d’un autre côté ça ne va pas durer longtemps alors je me lance dans la file d’attente. Une fois ficelé dans l’ascenseur, on regarde le groom fermer les portes et la cabine part en arrière rejoindre sa cage. On monte très vite et à mi-chemin on s’arrête. On assiste à une animation visuelle du plus bel effet qui explique que, jadis, l’immeuble a été frappé par la foudre, ce qui a envoyé un ascenseur dans la quatrième dimension. On se doute bien que notre ascenseur va y avoir droit, mais surprise ! Nous retournons tranquillement à notre point de départ où notre groom nous retrouve tout étonné : « Ben ça n’a pas marché ? ». Il prétexte un problème avec les ceintures de sécurité et nous demande plusieurs fois de les ôter et de les remettre avant de finalement fermer la porte et de relancer le processus. Retour dans la cage d’escalier, on regarde de nouveau la petite animation, et cette fois, on décolle jusqu’au sommet, mais nous n’aurons pas le temps d’apprécier une très belle vue d’ensemble du parc : chute libre jusqu’en bas. Je n’en mène pas large, mais c’est terminé. J’avais raison c’était vite passé. Sauf que non. Une fois en bas on remonte et rebelotte. Pour ma plus grande terreur, ce sont six chutes d’une hauteur variable (on apprendra que c’est calculé aléatoirement et qu’il s’agissait de chutes accélérées) qui vont se succéder. Heureusement, Élodie a tout de suite vu que je n’appréciais que moyennement la suite des évènements et m’a encouragé tout du long. À la sortie, je n’ai pu m’empêcher d’avoir une pensée pour les passagers du vol Jet Link 2733 le 29 avril 1993 qui avait joué aux montagnes russes avant de se poser par miracle : même si l’avion peut encaisser ces accélérations, ils ont du être terrorisés.

[singlepic id=167 w=200 h=200 float=left]

Pour le reste de la journée on décide de faire calme. Le soir on assiste à l’incontournable Wild wild west show de Buffalo Bill. C’est un spectacle de cow-boys et d’indien au cours duquel on mange un bon chilli con carne. C’est une animation incontournable du Disney Village et je vous encourage vivement à y aller.[singlepic id=166 w=200 h=200 float=right] Le lendemain, on retourne à Disneyland, l’original, et on fait entre autres l’Indiana Jones et le temple du péril. Ces montagnes russes avaient été construites à l’origine pour délester un peu le Big Thunder Mountain et c’est devenu une des attractions phares de Disneyland. Malheureusement il est très très court !

[singlepic id=165 w=200 h=200 float=left]

Je vous laisse sur cette photo de moi dans l’Indiana Jones. J’ai l’air décontracté, mais en fait j’appréhende toujours un peu cette première descente après la montée…

3 réponses à “Évasion à Disneyland”

  • Maman:

    Et bien je n’en reviens pas que tu aies fait ces attractions, c’est vrai qu’en général tu n’en es pas du tout friand. Hum !! Elodie est passée par là

  • Vans:

    Bon ok, on la refait mais moins crispé !

  • Yobe:

    C’est l’angle de vue à la con qui donne cette impression. Là en fait je suis en train de faire dans mon froc tellement je suis détendu lol

Catégories
Bookmarks